Paco....
¡A galopar,
a galopar,
hasta enterrarlos en el mar!
A galoper, à galoper, jusqu’à les enterrer(!) dans la mer!"
Andalouces de Jaen
Dites, Andalous de Jaen
Altiers ramasseurs d’olivez,
Dites moi du fond du cœur :
Qui a fait naitre l’olivier ?
O Andalous de Jaen, O Andalous de Jaen
Ce ne fut pas le néant,
NI l’argent, ni le Seigneur,
Mais la terre silencieuse,
Le travil et la sueur,
Avec l’aide de l’eau pure
Et des planètes du ciel
Ils ont donné à eux trois
La beauté des troncs tordus
O Andalous de Jaen
Dites, Andalous de Jaen,
Altiers ramasseurs d’olives
Dites moi du fond du cœur,
A qui sont ces oliviers ?
O Andalous de Jaen, O Andalous de Jaen
Combien de siècles d’olives
Attachés là pieds et mains
De l’aurore au clair de lune
Pèsent leur poids sur vos reins,
Jaen, dresse ton courage
Sur tes grands rochers de lune,
Tu ne vas pas être esclave
Avec tous tes oliviers !
O Andalous de Jaen
Dites Andalous de Jaen,
Altiers ramasseurs d’olives,
Dites moi du fond du cœur,
A qui sont ces oliviers ?
O Andalous de Jaen, O Andalous de Jaen
Traduction par Pierre Pascal