Offenbach
Vous m'avez bien fait rire avec vos commentairesJ'explique ! j'ai donc commencé un article sur Offenbach et pour illustrer le propos j'ai voulu mettre un podcast....pas moyen! Ne pas rire! J'avais previsualise quand la sonnette a retenti alors que je m'excrimais dessus,j'ai arrete l'ordi ne pensant pas que l'article ,ô combien succin (!)allait paraitre!!
Bref,je disais donc que j'adore Offenbach!Aussi bien dans ses operas bouffes (je n'aime pas ce terme d'operette,qui restreint l'oeuvre ) que dans son Opera:Les contes d'Hoffmann.Pour rester dans l'esprit petillant des Fetes je prefere parler de la Vie Parisienne que je suis allée voir au Theatre le 31 .Vous en connaissez tous au moins un passage :le fameux French cancan!Les airs sont gais ,joyeux ! On sent le rire et la derision dans chaque ouvrage! Rien de tel pour redonner du peps si vous en manquez! Pour moi ce n'est qu'un immense éclat de rire!
Mais qui est Jacques Offenbach?
Jacob Eberst est né à Cologne (Allemagne) en 1819.Son pere cantor de la synagogue de Cologne etait originaire de Offenbach près de Francfort,d'où son pseudonyme. Admis au conservatoire de Paris en 1833, alors que le règlement interdit l'inscription d'étudiants étrangers, il s'impose d'abord dans les salons parisiens comme violoncelliste virtuose. Il créé un genre nouveau : l'opéra bouffe français et il se produit dans des théâtres qu'il administre lui-même,le 1er étant le theatre Comte(passage Choiseul) rebaptise "Bouffes Parisiens"
j Son premier grand succès, Orphée aux Enfers (1858) révèle au public parisien son genie musical et la virulence de la satire sociale véhiculée dans ses opéras bouffes. Sa collaboration avec deux grands écrivains français de l'époque Ludovic Halévy (1834-1908) et Henri Meilhac (1831-1897) lui permettent de créer des chefs d'œuvres qui s'imposent rapidement au monde entier : La Belle Hélène (1864), Barbe-Bleue (1866), La Vie parisienne (1866), La Grande Duchesse de Gérolstein (1867), La Périchole (1868), Les Brigands (1869). Il meurt le 5 octobre 1880 sans avoir complètement achevé l'ouvrage qu'il portait en lui depuis sa jeunesse, Les Contes d'Hoffmann, qui furent représentés sur la scène parisienne du Théâtre de l'Opéra-Comique en février 1881. Œuvre lyrique "fantastique" inclassable, Les Contes d'Hoffmann sont un des sommets du répertoire du 19e siècle et restent aujourd'hui, avec Carmen (de Bizet), l'opéra français le plus joué au monde.